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De Mobilitéitsminister huet sech mat den zoustännege Buergermeeschteren ënnerhalen.
De Mobilitéitsministère mécht en Update iwwer d’Situatioun ronderëm de Käerjenger Contournement. E Mëttwoch hat de François Bausch sech mat der Buergermeeschtesch vu Suessem Simone Asselborn-Bintz a mam Buergermeeschter vu Käerjeng Michel Wolter getraff.
Eng nei Variant vum Contournement gouf virgestallt. Verschidden Ännerunge wiere méi Connectiounen un de lokale Verkéiersreseau fir den Trafic z’entlaaschten. D’Gare vu Käerjeng-Suessem géif zum Beispill erweidert ginn. Eng Vëlospist nieft dem Contournement ass och geplangt.
Den Autorisatiounsdossier gëtt Enn September un den Ëmweltministère eragereecht.
Offiziellt Schreiwes
Contournement de Bascharage: conclusions suite aux études d’optimisation du tracé (18.09.2023) | |
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En date du 13 septembre 2023, François Bausch, Vice-Premier ministre, ministre de la Mobilité et des Travaux publics, a rencontré Simone Asselborn-Bintz, députée-maire de la commune de Sanem, et Michel Wolter, député-maire de la commune de Käerjeng, accompagnés de leurs échevins. L’objectif de la réunion était d’exposer aux élus communaux la décision prise par le Conseil de gouvernement en date du 7 juillet 2023 et de les informer de l’évolution du dossier depuis cette décision. La variante unique décidée par le Conseil de gouvernement a été favorablement reçue par les deux communes concernées. Le Vice-Premier ministre a réaffirmé aux responsables communaux: «D’un côté nous avons besoin d'une réduction considérable du trafic dans les localités de Bascharage, Sanem, Niederkorn et Pétange. D’un autre côté, la région jouera également un rôle primordial dans le développement économique du pays avec ses zones d’activités nationales au Pôle européen de développement, Robert Steichen, Haneboesch et Gadderscheier.» Le contournement de Bascharage est un élément important pour atteindre ces deux objectifs à première vue contradictoires. Toutefois, les planifications ont été actualisées et adaptées par rapport à l’esprit du Plan national de mobilité 2035. Les changements par rapport à la planification de 2016 sont:
Il en résulte un projet amélioré en termes de mobilité n’engendrant pas plus de coûts que la variante initiale de 2016, tout en conservant plus de nature. L’adaptation de la loi de financement de 2018 n’est donc pas nécessaire, car les modifications ponctuelles du tracé s'inscrivent dans le cadre du budget et du programme prévus par la loi. Le dossier d’autorisation sera soumis fin septembre au ministère de l'Environnement, du Climat et du Développement durable en vue de la procédure prévue par la loi concernant l’évaluation des incidences sur l’environnement. Le début des travaux est prévu fin 2024/début 2025, accompagné de la mise en œuvre des mesures compensatoires. Une réunion conjointe entre les deux conseils communaux et des représentants du ministère et de l’administration est planifiée pour le 21 septembre 2023. |